Alors, alors ! On se retrouve à nouveau pour les quelques titres qui m’ont fait de l’oeil durant le mois de Mars ! Très inspiré #MarsAuFeminin comme vous le verrez. N’hésitez pas à me dire si vous les avez lu et ce que vous en avez pensé !
Catégorie : – RENDEZ-VOUS –
Bilan lectures | Mars 2021
Alors, alors ! On se retrouve aujourd’hui pour parler de toutes mes lectures du mois de Mars et quel mois ! J’ai beaucoup plus lu qu’au début de l’année et j’en suis vraiment ravie ! Pour retrouver mes bilans précédents c’est par ici. C’est parti !
Bilan lectures | Février 2021
Alors, alors ! On se retrouve aujourd’hui pour un bilan de mon mois de février ! Pas fameux mais comme chaque année, le contre coup de la nouvelle année fait chuter ma motivation. C’est parti !
Lectures :
• Kaizen, de Sarah Harvey.
Le kaizen s’annonce comme la prochaine grande tendance en matière de style de vie après l’ikigai et le lagom. Le kaizen est la méthode japonaise douce pour changer ses habitudes. C’est la mise en oeuvre continue de petits changements qui conduit à des améliorations significatives sur le long terme ; en japonais, le mot kaizen veut en effet dire » amélioration continue » et est déjà éprouvé depuis longtemps par l’industrie japonaise. Cette conduite du changement peut se résumer en une phrase : » Mieux qu’hier, moins bien que demain « . Le kaizen peut s’appliquer dans tous les domaines de la vie quotidienne. Il suffit d’avancer d’un petit pas, jour après jour. Les efforts paraissent minimes, même quand l’objectif est important.
• 100 expressions malaisantes en mode 2021, de Adèle Bréau et illustré par Mathou.
« En présentiel », « malaisant », « chantier », « Ségur », « distanciation », mais aussi « askip », « en PLS », « chech », en passant par les inévitables « nécessaire », « transparence », « radical », « niche » ou « tellement vrai »… Dans un monde professionnel chamboulé par le télétravail, chez les ados, sur les réseaux sociaux, dans les médias et jusque dans nos dîners, certaines expressions devenues incontournables ont over-squatté le terrain. Parfois grotesques, drôles ou étonnantes mais le plus souvent exaspérantes par leur surutilisation, ces expressions sont-elles à bannir définitivement? Sept ans après J’dis ça, je dis rien, Adèle Bréau décortique et analyse les survivants et les nouveaux tics langagiers émergés en 2020 et qui perdurent en 2021. Un ouvrage ponctué d’illustrations humoristiques de Mathou.
• À nos sœurs, nos mères et nos filles, de Julie Laurent-Marotte et Aurélie Godefroy.
La vie est faite de rencontres et ce qui fait la différence, c’est bien la complicité, la complémentarité, le partage et l’enrichissement mutuel qui naissent de ces échanges. Aurélie Godefroy et Julie Laurent-Marotte se sont rencontrées autour du live Insta « Loin mais ensemble », émission « anti-morosité » qui devrait être déclarée d’utilité publique ! Elles prolongent leurs échanges dans un livre inspirant, résolument optimiste. Attachées aux mêmes valeurs, elles proposent dans ce livre de promouvoir une certaine idée du féminisme de manière constructive et positive, d’explorer la force de la sororité aujourd’hui. Autour de leur dialogue décomplexé et sans tabous, de méditations, de retours d’expériences vécues, elles souhaitent transmettre à toutes les femmes le message suivant : « La route n’est pas facile, c’est vrai, mais vous n’êtes pas seules! ». Un livre qui réunit toutes les femmes dans une sororité bienveillante. Sur des thèmes variés et d’actualité (comment prendre soin de soi, être douce avec soi, avoir confiance en soi…), Aurélie et Julie apportent leur expertise. Elles proposent un éclairage complémentaire à la fois spirituel, philosophique et psychologique, agrémentés de tips plus pratiques à réaliser au quotidien (sport, alimentation, méditations dédiées…).
Bilan :
Trois lectures que j’ai beaucoup aimé et qui m’ont apporté détente et réconfort. Et c’est tout ce qu’on demande non ? Petite mention spéciale pour le dernier des trois si fort, si puissant et si intéressant. J’ai ÉNORMÉMENT appris.
Les avez-vous lus ? Qu’en avez-vous pensé ? Quels sont les titres que vous avez lu au mois de Février ?
Les 5 derniers livres ajoutés à ma wish-list #2
Alors, alors ! Le précédent épisode semble vous avoir plus et comme Instagram regorge de nouveaux livres voici donc, les 5 derniers livres ajoutés à ma wish-list. Pour l’épisode 1 c’est ici. C’est parti !
• Vers le soleil, de Julien Sandrel.
14 août 2018. Tess part vers la Toscane, où elle doit rejoindre pour les vacances sa fille Sienna et l’oncle de celle-ci, Sacha. Mais alors qu’elle fait étape chez sa meilleure amie à Gênes, un effroyable grondement ébranle la maison, et tout s’écroule au-dessus d’elle. Une longue portion du pont de Gênes vient de s’effondrer, enfouissant toute la zone. Tess est portée disparue.
Lorsque Sacha apprend la catastrophe, c’est tout leur univers commun qui vole en éclats. Tous leurs mensonges aussi. Car Sacha n’est pas vraiment l’oncle de cette petite fille de neuf ans : il est un acteur, engagé pour jouer ce rôle particulier quelques jours par mois, depuis trois ans. Un rôle qu’il n’a même plus l’impression de jouer tant il s’est attaché à Sienna et à sa mère. Alors que de dangereux secrets refont surface, Sacha sait qu’il n’a que quelques heures pour décider ce qu’il veut faire si Tess ne sort pas vivante des décombres : perdre pour toujours cette enfant avec laquelle il n’a aucun lien légal… ou écouter son coeur et s’enfuir avec elle pour de bon ? En attendant, il décide de cacher la vérité à la petite fille, et de la protéger coûte que coûte..
• Filles uniques, de Anne Loyer.
Une Chine en plein renouveau, des traditions qui résistent et une adolescente bien décidée à prendre son destin en main ! Comme beaucoup de Chinoises de sa génération, Xinxin est fille unique et tous les espoirs de ses parents reposent sur ses épaules. Sa vie est une course à l’excellence jusqu’au jour où elle apprend que sa meilleure amie va être grande sœur. Cette annonce ouvre en elle un incompréhensible gouffre d’émotions. Lorsque Xinxin aborde le sujet avec sa famille, elle se heurte à un mur de silence et de gêne. Se pourrait-il que ses proches lui cachent quelque chose ? Elle choisit de se battre pour lever le voile sur ces non-dits et comprendre enfin ce manque qui la hante.
• Girl, de Edna O'Brien.
Le nouveau roman d’Edna O’Brien laisse pantois. S’inspirant de l’histoire des lycéennes enlevées par Boko Haram en 2014, l’auteure irlandaise se glisse dans la peau d’une adolescente nigériane. Depuis l’irruption d’hommes en armes dans l’enceinte de l’école, on vit avec elle, comme en apnée, le rapt, la traversée de la jungle en camion, l’arrivée dans le camp, les mauvais traitements, et son mariage forcé à un djihadiste – avec pour corollaires le désarroi, la faim, la solitude et la terreur.
Le plus difficile commence pourtant quand la protagoniste de ce monologue halluciné parvient à s’évader, avec l’enfant qu’elle a eue en captivité. Celle qui, à sa toute petite fille, fera un soir dans la forêt un aveu déchirant – « Je ne suis pas assez grande pour être ta mère » – finira bien, après des jours de marche, par retrouver les siens. Et comprendre que rien ne sera jamais plus comme avant : dans leur regard, elle est devenue une « femme du bush », coupable d’avoir souillé le sang de la communauté.
Girl bouleverse par son rythme et sa fureur à dire, à son extrême, le destin des femmes bafouées. Dans son obstination à s’en sortir et son inaltérable foi en la vie face à l’horreur, l’héroïne de ce roman magistral s’inscrit dans la lignée des figures féminines nourries par l’expérience de la jeune Edna O’Brien, mise au ban de son pays pour délit de liberté alors qu’elle avait à peine trente ans.
Soixante ans plus tard, celle qui est devenue l’un des plus grands écrivains de ce siècle nous offre un livre d’une sombre splendeur avec, malgré tout, au bout du tunnel, la tendresse et la beauté pour viatiques.
• Circé, de Madeline Miller.
Helios, dieu du soleil, a une fille : Circé. Elle ne possède ni les pouvoirs exceptionnels de son père, ni le charme envoûtant de sa mère mais elle se découvre pourtant un don : la sorcellerie, les poisons et la capacité à transformer ses ennemis en créatures monstrueuses. Peu à peu, même les dieux la redoutent.
Son père lui ordonne de s’exiler sur une île déserte sur laquelle elle développe des rites occultes et croisent tous les personnages importants de la mythologie : le minotaure, Icare, Medée et Ulysse…
Mais cette existence de femme indépendante et dangereuse inquiète les dieux et effraie les hommes. Pour sauver ce qu’elle a de plus cher à ses yeux, Circé doit choisir entre ces deux mondes : les dieux dont elle descend, les mortels qu’elle a appris à aimer.
• Le tatoueur d'Auschwitz, de Heather Morris.
L’histoire vraie de Lale Solokov, Juif chargé de tatouer les femmes arrivant à Auschwitz. C’est ainsi qu’il rencontre Gita et en tombe amoureux. Ensemble, ils partagent des moments volés au coeur de l’horreur, sans jamais perdre l’espoir d’être réunis à leur sortie du camp.