Acquisitions | Janvier 2021

Acquisitions | Janvier 2021

Alors, alors! Comment allez-vous ? Je vous retrouve aujourd’hui pour évoquer mes acquisitions livresques du mois de Janvier. Il s’agit principalement de lectures que les maisons d’éditions partenaires m’ont envoyé ou bien les livres de mon abonnement chez collection RBA – Romans éternels. J’ai éssayé de réduire drastiquement mes achats (au moins) pour le mois de Janvier, car j’ai tendance à en accumuler trois fois plus que je n’en lis. Bref, c’est parti !

 


Indomptée, de Glennon Doyle.

Glennon Doyle est une femme follement inspirante : mariée et maman de trois enfants, elle a fini par dire stop ! Elle a décidé de vivre son amour au grand jour avec la femme de ses rêves, d’écouter son intuition et de ne plus chercher à plaire au risque de se perdre. Elle partage dans ce best-seller son histoire, son parcours plein d’embûches et sa libération. Glennon Doyle nous communique son envie contagieuse d’être nous-même à notre tour, sans aucune concession !



Ose regarder en toi la magie de la vie, de Géraldyne Prévôt-Gigant.

Malheureuse dans son couple et souffrant de dépendance affective, Elena va se reconnecter à sa puissance au contact d’autres femmes rencontrées dans un cercle de vie. Femmes à la conquête d’elle-mêmes, femmes blessées mais combattantes… en partageant avec elles sa vulnérabilité et ses fragilités, Elena va reprendre son destin en mains et comprendre qu’à plusieurs, on est plus fortes. Un roman emprunt d’une grande sensibilité et s’appuyant sur la force d’une sororité bienveillante. Et si en chacune d’entre nous demeurait cachée une femme puissante qui ne demande qu’à s’épanouir et à s’exprimer pour rayonner et prendre sa place dans le monde ?



Le pouvoir du Chowa, de Akemi Tanaka.

Les caractères qui composent le mot chowa signifie « recherche de l’équilibre », mais on les traduit plus simplement par « harmonie ». Le chowa propose des pistes pour résoudre les problèmes et nous aider à équilibrer les forces contraires et trouver l’harmonie : à la maison, au travail, au cours de notre éducation et dans nos différentes relations. Loin d’être une mystérieuse qualité japonaise, le chowa est donc plutôt une sorte de philosophie, un ensemble de pratiques visant à modifier le regard que nous portons sur nous-mêmes et sur les autres. Cette façon ancestrale de penser le monde s’enseigne et s’apprend. Au prix d’un effort délibéré et conscient de notre part, il nous indique des pistes concrètes pour aborder les défis du quotidien : maintenir nos maisons propres et rangées, parvenir à un éuilibre satisfaisant entre vie privée et professionnelle, trouver un amour durable. Mais le chowa nous apprend aussi à relever d’autres défis : gérer un deuil et les catastrophes, agir avec le courage de nos convictions ou encore aider les autres.



Kaizen, de Sarah Harvey.

La méthode japonaise du petit pas pour changer toutes ses habitudes. Le kaizen s’annonc comme la prochaine grande tendance en matière de style de vie après l’ikigai et le lagom. Le kaizen est la méthode japonaise douce pur changer ses habitudes. C’est la mise en oeuvre continue de petits changements qui conuit à des améliorations significatives sur le long terme ; en japonais, le mot kaizen veut en effet dire « amélioration continue » et est déjà éprouvé depuis longtemps par l’industrie japonaise. Cette conduite du changement peut se résumer en une phrase : « mieux qu’hier, moins bien que demain ».


Simone de Beauvoir : la philosophe iconoclaste qui changea le destin des femmes, de Ariadna Casterllarnau.

Figure intellectuelle majeure du XXè siècle, Simone de Beauvoir s’est imposée sur une scène littéraire et philosophique encore largement dominée par les hommes. Amoureuse libre et scandaleuse, fidèle compagne de Sartre,  militante engagée, lauréate du prix Goncourt, elle a puisé dans l’effervescence de sa vie la matière de son oeuvre. Avec Le Deuxième Sexe, bousculant les clichés et les stéréotypes, elle est devenue le héraut de la cause féministe à travers le monde. Elle incarne encore, par sa liberté e pensée et d’action, un modèle pour les femmes d’aujourd’hui. 


Jane Austen : la romancière la plus rebelle et anticonformiste de son époque, de Ofelia Ott.


Issue de la petite gentry anglaise, Jane Austen grandit dans un monde où les fmmes étaient cantonnées à faire un bon mariage. sOutenue par un père conscient de son talent, la jeune femme dut consentir de grands sacrifices pour se consacre à sa passion, la littérature. Ecrivain réaliste très critique à l’égar du sentimentalism, elle décrivit avec clairvoyance et ironie la société de son temps. Son oeuvre romanesque la place parmi les plus grands auteurs de langue anglaise.


Anna Karénine II, de Léon Tolstoï.

La quête d’absolu s’accorde mal aux convenances hypocrites en vigueur dans la haute société pétersbourgeoise de cette fn du XIXè siècle. anna Karénine en fera la douloureuse expérience. Elle qui ne sait ni mentir ni tricher – l’antithèse d’une Bovary – ne peut ressentir qu’un profond mérpris pour ceux qui condamnent au nom e la morale sa passion adultère. Et en premier lieu son mari, l’incarnation parfaite du monde auquel il appartient, lui plus soucieux des apparences que véritablement peiné par la trahison d’Anna. Le drame de cette femme intelligente, sensible et séduisante n’est pas d’avoir succombé à la passion dévorante que lui inspire le comte Vronski, mais de lui avoir tout sacrifié, elle, sa vie de femme, sa vie de mère. Vronski, finalement lassé, retrouvera les plaisirs de la vie mondaine. Dans son insondable solitude, Anna, qui ne peut paraître à ses côté, aura pur seule arme l’humiliante jalousie pour faire vivre les driers souffles d’un amour en perdition. Mais sa quête est vaine, c’est une « femme perdue ».


Loin de la foule déchainée, de Thomas Hardy.

Jeune femme d’une grande beauté et au caractère impétueux, Batsheba Everdene hérite à vingt ans d’un beau domaine, qu’elle dirige seule. Quand un incendie se déclare dans sa propriété, un ancien soupirant ayant des revers de fortune, Gabriel Oak, apporte une aide précieuse pour sauver ses récoltes. elle lui procure un emploi parmi ses gens, mais devient l’élue de deux autres prétendants, bien décidés l’un et l’autre à obtenir sa main. oak s’avérera quant à lui d’une étonnante fidélité…


Mansfield Park, de Jane Austen.

Fanny Price est issue d’une famille pauvre qu’elle quitte à l’âge de dix ans pour vivre avec son oncl et sa tante, Si Thomas et Lady Bertram, à Mansfiled Park. Sir Thomas désire en effet aider Mrs. Price, la mère de Fanny et la soeur de Lady Bertram, et prenant en charge l’éducation de Fanny. Celle-ci est donc élevée avec ses cousins, légèrement plus âgés qu’elle, Tom, Edmund, Maria et Julia, mais il lui est presqque constamment rappelé qu’elle leur est inférieure. Seul Edmund fait preuve de gentillesse à son égard ; Maria et Julia la méprisent, Tom ne lui prête pas attention. Fanny maintient une correspondance régulière avec son frère William, officier de la Royal Navy. Elle acquirt en grandissant, notamment au contact d’Edmund, un sens moral qui lui sert de guide pour toute chose. La gratitude et l’affectio qu’elle éprouve à l’égar de son cousin se transforment au fil des ans en un amour qu’elle garde secret. Les jours passent calmement à Mansfield Park, jusqu’au jour àù Lord Bertram part aux Caraïbes et que de nouveaux jeunes gens font leur arrivée dans les environs : Mr et Miss Crawford, frère et soeur de la femme du nouveau pasteur. Leur arrivée bouleverse la vie austère de Mansfield Park, sous les yeux de Fanny…

Agnès Grey, de Anne Brontë.

Miss Grey était une étrange créature ; jamais elle ne flattait et elle était loin de leur faire assez de compliments ; mais, quand elle parlait d’elles ou de quoi qur ce fut qui les concernât en termes élogieux, elle pouvaient avoir la certitude que sa bonne opinion était sincère. Elle se montrait dans l’ensemble très prévenante, discrète et pacifique, mais certaines choses la mettaient hors d’elle ; certes, cela ne les gênait guère, mais pourtant mieux valait ne pas la désaccorder puisque, lorsqu’elle était de bonne humeur, elle leur parlait, était fort agréable et pouvait parfois se montrer extrêmement drôle, à sa manière, qui était bien différente de celle de Mère, mais faisait toutefois très bien l’affaire pour changer. Elle avait des opinions arrêtées sur tout, auxquelles elle restait farouchement attéchée… Des opinions souvent rebutantes, puisqu’elle pensait toujours en termes de bien et de mal et avait une curieuse révérence pur ce quit ouchait à la religion et un penchant incompréhensible pour les honnêtes gens.


Les connaissez-vous ? Qu’en avez-vous pensé ?

Acheteurs raisonnables ou compulsifs ?


 

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